Se détend

Tempête en avait assez du vent mordant de l'hiver. Ce jour là, un frêle soleil pointa le bout de son nez.
La panthère décida d'en profiter au maximum. Elle grimpa sur le rocher réchauffé,et apprécia le panorama dégagé devant elle, tout en se prélassant sur le roc...
Puis un bruissement attira son attention.
Elle regarda de tout les côtés...une odeur féline flottait.

DArkness emergea des broussailles qui entouraient le rocher.

Silencieusement il avancait, il jeta un regard froid a la panthere, puis passa son chemin.

Soudain, au milieu, il s'immobilisa et regarda autour de lui, semblant chercher quelques chose.

LEs oreilles plaquées contre sa tete, il remuait sa longue queue fournie de droite a gauche, nerveusement.

Tempête vit surgir une panthère des neiges, l'air peu commode, elle décida de ne pas lui prêter attention.
Elle était sûre qu'il était trop hostile pour être amical.*
Elle posa sa tête sur ses pattes, et regarda le ciel.

Dark claqua des dents et fouetta l'air de sa queue.

Puis il se retourna vers la panthere et s'avanca vers elle, son regard bleu acier la fixant.

Tempête redressa la tête,se leva et recula. Cette panthère des neiges menaçante lui faisait froid dans le dos.
Elle frissonna...

Dark s'arreta et sourit, un sourir malsein, mais il sourit quand meme.

"navré de vous faire peur..."

Sa voie etait faussement desolé et froide.

Il redressa une oreille

"Avec tout ceci..." il serra les machoire et regarda furtivement autour de lui

"j'en oublie d'etre poli! je me presente Darkness!"

Tempête se reprit, elle s'ébroua le fixa sasn ciller.
"Tempête."
Elle détourna le regard.

Dark s'etira et s'assit.

Sa queue frappait le sol.

Il leva latete et regarda au loin ,par dessus les arbres.

Il semblait avoir totalement oublié la presence de Tempete, maisce n'etait qu'apparence!

Tempête, voyant qu'il ne lui prêtait plus aucune attention, se recoucha, mais ne referma pas les yeux, toujours méfiante.
Elle observa lr panorama qui s'offrait à elle.

Dark tourna la tete et silencieusement, disparut entre les herbes.

Il ne trouverait pas ce qu'il cherchait ici, tant pis.

Cela ne servait a rien de rester et il n'avait aucunement envie de parler ou d'etre aimable.

Il desendit donc sans un mots, les pentes escarpées du rocher, se servant de sa longue queue comme balancier.